Entre la promo de son dernier album, bientôt sorti du four, et la préparation d’une tournée longtemps mijotée, Muddy Monk (Guillaume Dietrich pour les intimes), véritable couteau suisse du son, nous glisse une montagne de spots réconfortants au parfum franco-transalpin.
La dernière claque culinaire ?
C’était en découvrant la cuisine libanaise d’Afendi dans le 10e (arrondissement de Paris, ndlr). L’ensemble de leurs plats sont vraiment exceptionnels – à tel point que j’étais presque motivé d’y retourner le lendemain…
Le plan d’après-concert ?
Si j’en trouve une bonne à proximité, je me rue dans une crêperie pour avaler une galette de sarrasin. Je suis un grand consommateur de galettes jambon-fromage et adepte de cette simplicité qui, si elle est bien effectuée, est un vrai régal. La dernière en date, c’était chez Tanguy dans le 10e, après des répétitions.
La recette anti-blues du dimanche soir ?
J’aime bien cette question. J’ai plusieurs plats pour le blues du dimanche soir, puisqu’il revient presque chaque semaine… Le plus efficace, je pense que c’est la raclette ! En deuxième position, des mini-crêpes devant la télé – avec une pâte sucrée-salée à la ciboulette héritée de ma grand-mère, du jambon et du fromage.
Le spot où lézarder pendant des heures ?
Un bar à bière qui s’appelle Au Trappiste, dans une petite rue festive du centre historique de Berne. Le patron et toute son équipe sont super sympas et passionnés par leurs produits. En hiver, l’intérieur boisé est chaleureux, et l’été, la terrasse prend vie dans cette rue poétique.
Sur le feu en ce moment ?
Je travaille sur la sortie de mon album Bingo Paradis, le 27 septembre. C’est l’aboutissement d’un long processus créatif que j’ai adoré mener. Je prépare aussi une tournée qui commence en octobre, avec un Olympia en janvier. Pour la suite, j’ai déjà hâte de créer de nouveaux morceaux. J’adore expérimenter.
Ses restaurants préférés :
– Le Maquis, Paris 18e : « Leur cuisine est à chaque fois parfaitement équilibrée et surprenante. J’aime ce genre de propositions qui n’en font pas des tonnes, mais qui tapent juste et qui sont très gourmandes. »
– Ooki, Zurich : « Ils servent de super bons plats japonais, et c’est aussi le premier restaurant que j’ai fait avec mon amoureuse. »
– Café Du Gothard, Fribourg : « Dans ma ville d’origine, il y a cette vieille adresse traditionnelle où l’on mange une excellente fondue dans un cadre très atypique et convivial. Je vais là-bas depuis des années et j’y ai célébré plusieurs sorties d’album. Les serveuses sont des Fribourgeoises typiques, habillées en tenue traditionnelle de la région. »