Inutile de chercher Stan derrière le comptoir formiqué : le Stan dont il est question ici est issu du sanskrit, et signifie « lieu », « pays ». Maintenant, vous savez d’où viennent les termes « stand » anglais ou « stad » néerlandais… et ce qui se joue au Bar Stan, LA cantine louvaniste par excellence (mobilier dépareillé, terrasse solaire), un peu excentrée mais toujours bien fréquentée. Des jeunes, des moins jeunes et des beaucoup moins jeunes y rappliquent dès potron-minet et jusqu’à pas d’heure, autrement dit, aussi bien pour un café-granola qu’une bibine d’après-souper. Entre les deux ? Des croques qui suent le bon fromage, des sandwichs méga-pimpés (comme ce combo dip de potiron, champis frits, coulis d’herbes et noix dans un pain toasté de la boulangerie Korst) et des petites assiettes légu-lumineuses, à s’enfiler sans faire de façons. Ajoutez à cela un service détendu du col, et vous n’aurez qu’une seule envie : y retourner, pardi ! // Watsounet
POUR LA SOIF ? Une carte kilométrique, alignant par exemple de la Stella au fût (2,80 € les 25 cl) et une bière Gimme Some Mo de La Source (6,50 € les 33 cl), sans s’empêcher de s’aventurer vers d’autres horizons – à l’image de cette porter dublinoise The Sup (6,20 € les 33 cl). En plus de tout ça, des vins vivants (d’Italie principalement, comme cet orange ombrien d’Il Signor Kurtz à 7,80 € le verre), une limonade maison même-pas-trop-sucrée (3,80 €) et du café Mok torréfié dans le coin (3 € l’espresso).
LES PRIX : sandwichs 12,50 à 15,50 € (midi), assiettes 12,50 à 21 €, buffet brunch 29 € (un dimanche sur deux).
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