Uni·es à la ville comme en cuisine, les Da Costa (Pauline, passée par Gaya, et Vincent, chez Ollie Clarke) prennent un malin plaisir à mettre tout le monde d’accord dans leur CO/DA. Le spot ? Un mini-troquet aux tables lustrées, banquettes en velours céruléen et ardoises murales, où s’enfiler les yeux fermés de la haute bistrote parigote… Au menu, ce midi-là : soupe de panais de haute goûture, dopée juste ce qu’il faut par une huile fumée ; (sur)kiffants spaghettis al dente comme il se doit, avec poireaux, poitrine de cochon et ‘nduja – ou chou-fleur délicieusement rôti, ketchup d’oignons et défrisant chimichurri ; avant une gracieuse pomme au four chapeautée d’un sorbet au kiwi, à moins d’opter pour l’aguicheur chocolat liégeois. Notre regret ? Ne pas avoir goûté les charcuteries maison, comme le soudjouk (saucisse turque épicée) ou le pepperoni. // Albin Nycta
POUR LA SOIF ? De belles références bio et plus encore : chardonnay ardéchois Trou Blanc de Sylvain Bock (7,50 € le verre), persan savoyard du Domaine Saint Germain (45 € la bouteille), vouvray Le Haut Lieu du Domaine Huet (52 €)…
LES PRIX : formules et menus 24-27 € (midi) et 42 € (soir).
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