Fin de road trip pour Antoine Houdré, parti de Troyes, monté un temps à la capitale pour tire-bouchonner des bistrots à canons naturalistes – L’Esquisse, Le Jourdain… Puis, après un détour par les Crieurs de Vin à Troyes, où il a chopé son chef Théophile Duc, stop à Essoyes, quintessence du bourg à bulles de champ’, à deux pas des Riceys. À L’Union, du tout simple, un bout de zinc, des lambris bordeaux, quelques affiches et accroches picturales, une terrasse à l’ombre de l’église et de quoi grignoter (du pâté en croûte Bobosse par exemple) avec une flûte qui pétille avant de passer à table. Ce soir-là, des palourdes sautées bien débourrées au vermouth ; une lotte panée au panko croquant et verdurée aux brocolis ; avant un combo malin de fraises, tomates cerises et mousse au chocolat blanc. Et au gré des jours, des piquillos farcis à la ricotta et au petit épeautre, ou une bavette grillée sauce chimichurri. // Adrien Nouviaire
POUR LA SOIF ? Il y a de quoi faire : grenache blanc rhodanien des Vignerons d’Estézargues ou ardèche rouge du Domaine de L’Alezan (3,50 à 7 € le verre), pineau d’Aunis Le Chemin Noir par Philippe Tessier (32 € la bouteille), champagnes Les Vignes de Montgueux estampillé Lassaigne (55 €) ou trop rare Rosé des Riceys 2015 d’Olivier Horiot (65 €)…
LES PRIX : formules et menu 17-20 € (midi en semaine), carte 30-38 €.
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