Le tableau : six tables (pas une de plus), un menu écrit sur un miroir et une serveuse japonaise qui usine plein gaz pour envoyer les commandes en cuisine. Ainsi le quotidien de Kokoya, où l’on vient bouillonner une vraie soupe miso avant de baguetter les divinités maison de poisson cru servis en chirashi, sashimi, sushi, futomaki ou cornet temaki. Pour nous, ce midi-là : combo de sushis ultra frais de saumon, maquereau mariné, seiche, thon, daurade et bar sur leur riz gluant mamour. Autre option, les plats chauds de poulet teriyaki ou yuzukosho (condiment à base de piment et d’écorce de yuzu). Avant en dessert maison, de jolis dorayaki moelleux aux haricots rouges ou un cheesecake au yuzu. Bref ; tout l’art de la cuisine nippone en mode popote, petits prix et reviens-y. // Thomas Jossin
POUR LA SOIF ? Des bières japonaises Asahi ou Kirin (3,50 € les 33 cl), de l’umeshu (6,50 € le godet) ou du saké (6-11 €).
LES PRIX : formules et menus 16-21 €, sushis 2,50 à 4,90 €, futomakis 14-15 € (dix pièces).
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