Envie de s’offrir un petit luxe dans les hauteurs de Val-d’Isère ? Tout schuss sur le Refuge de Solaise, l’hôtel le plus haut perché de France, à 2 551 mètres d’altitude ! Lequel abrite un maous resto de pierre et de bois, cerné de baies vitrées XXL avec vue dingoramique sur la vallée de la Tarentaise, dont le cadre italo-chic (banquettes terracotta, pointes de marbre, chandelles) joue franchement la carte du m’as-tu-vu. À la carte : trois arancini au risotto truffé, débarqués dans une crème montée à la truffe elle aussi ; des gnocchis maison justement dorés reposant dans une délicieuse crème à la sauge et au parmesan ; et pour finir de hisser l’addition au sommet, plutôt que l’un des quelques desserts de montagne (mont-blanc, faisselle aux fruits rouges, tarte aux myrtilles), une bombe de sucre années 2000 à base de mousse au chocolat au lait, crème de noisette et glace vanille. Bon à savoir : accessible en télécabine depuis la station, le resto est ouvert du jeudi au samedi soir aux client·e·s extérieur·e·s à l’hôtel… Réservation très conseillée ! // Adrien Sorin
POUR LA SOIF ? De quoi éviter le jeu de qui-a-la-plus-grosse (dans ma main droite un Château Margaux, dans ma gauche un Solaia), en choisissant par exemple l’altesse locale Quartz du Domaine des Ardoisières – attention, ça fera 90 € malgré tout.
LES PRIX : carte 67-112 €.
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