Sous les tilleuls de la Vrijdagmarkt, la terrasse sous UV du barav’ chic et choc d’Aldwin Camus, dealer de pecs au quotidien, fleure le farniente et le service débordé. Sur la carte, on slalome entre références bif bof et pépites naturopathes pour tous les larfeuilles – avec une légère lèche pour les mieux fourrés : rouge ligérien Ça se discute de Laurent Saillard, riesling grand cru Frankstein d’Éric par les Alsaciens de Vins Pirouettes, strictissime Ribolla du grand slovène Marjan Simcic, blanc de Moselle Socalcos de Kettern & Niepoort… Avec ça ? Spritz sponsorisés, G&T de luxe ou cocktails okay, et du miam (pas très végétal) sous la forme de boudin blanc signé Dierendonck, d’huîtres, de conserves et autres grassemandises qui lubrifient (5-25 €). // Toni Negroni
LE CANON CANON : scandaleux et introuvable Fumé de Pouilly du vignhéros Didier Dagueneau à 120 €.
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