Dans cet hôtel-resto plus que centenaire et joliment relooké, un trio de choc, Anaïs Teynié (ex-Maison Rostang à Paris) aux fourneaux, Nicolas Vaillant à l’accueil, et Julien Auroux au sucré. Ce jour-là, pour 19 balles, sous les frondaisons de la terrasse : fraicheur de courgettes en velouté, haddock râpé, mousse de tomates et croûtons dorés ; blanc de poulet bien dodu de la Maison Dumas à Aubas, snacké puis mijoté façon blanquette, flanqué d’un riz basmati et de carottes râpées au citron, le tout vaporisé par une émulsion de crème au curry ; avant en final hyper-gourmand, une mousse choco, meringue, crumble cacao, abricot poché et sorbet à la griotte. Côté lounge, on passe en mode tapas : planche de charcut’ et fromage ; frites de patates douces ; crevettes marinées et frites façon basquaise ; mousse noisette/praliné/caramel au beurre salé… // Gérard Roubeix.
POUR LA SOIF ? Une jolie sélection de pifs biolocaux : pécharmant Jour de Fruit de l’Ancienne Cure (16 € le pichet de 50 cl), blanc Tauzin du Domaine de la Tuque (29 € la bouteille), et côtes-de-duras Vieillefont du Domaine Mouthes le Bihan (36 €)…
LES PRIX : menus 19 € (midi, sauf dimanche et jours fériés), 38-53-72 € et 18 € (enfants). Planche de charcut’ et/ou fromage 26 € (2 à 4 personnes), tapas 6-12 €.
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