Banzai, le sando se dévore désormais dans les beaux quartiers ! Il suffit de passer une tête chez Benchy, la seconde adresse du fashion designer et consultant Kaito Hori – l’izakaya Sanjo, c’est lui. Dans cette échoppe façon kissaten tokyoïte (murs grattés, comptoir en marbre et béton, bande-son jazzy), on la joue en V.O en s’envoyant le fameux ‘dwich japonais à base de pain de mie mousseux et aérien, ici décliné en version tamago (œufs, mayo nippone et pâte de piments au yuzu) et thon (PDT, tomates, câpres, mayo, mimolette et aneth) ou des onigiris kombu (mijoté d’algues) et mentai mayo (œufs de lieu noir, et toujours mayo). En dessert ? Encore un sando, cette fois délicieusement fruité (kiwi, fraise, clémentine) et bien rempli d’une chantilly mascarpone. En bonus, pour les becs sucrés, la série de pâtisseries à tomber : choux fourrés de matcha, shortcake aux fraises, terrine au chocolat… Et en soirée, place aux tapas jap’ : salade de mizuna (moutarde japonaise), soupe miso ou goma wakame (salade d’algue), avant un donburi gyu-don (bol de riz rempli de juteux bœuf aux oignons). Benchy nous ravit ! // Henriette Ma
POUR LA SOIF ? Café (3-6 €), matcha latte (5 €), thé vert sencha, hojicha ou matcha (5 €), mais aussi quelques bières, whiskies yamazaki (13-64 € les 4cl), un blanc de Bourgogne du Domaine Bonnardot (8 € le verre) ou des softs japonais : limonade au yuzu ou à l’umé (5 €).
LES PRIX : sando salé 9,50 à 13 € (attention, 48 € pour la version wagyu !), onigiri 3,80 à 5 €, tapas 4-14 €, donburi 18 €, sando sucré 8 €, pâtisseries 4,50 à 5 €.
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