Une féerie baroque ! Javier de la Rica, a transformé une maison de maître du XIXe siècle en domaine de style avec parc, potager, serre, ruches… et salles regorgeant d’antiquités et de fleurs fraîches. Et confié la carte du restaurant à Fabrice Idiart, le chef du Moulin d’Alotz voisin. Aux fourneaux, Kévin Bigot, un ancien de l’Hôtel du Palais à Biarritz, popote sans chichi, authentique, presque « comme à la maison ». Ce soir-là : succulentes truitelles de Baïgorry, juste poêlées, beurre noisette, persil et citron ; sublime merlu de ligne luzien en salsa verde et berberechos (coques), cuit vapeur impec’, avec PDT allumettes, piquillos au pil pil, cœur de laitue vinaigrée et ossau-iraty râpé ; et pour finir, évidente salade de fraises de la ferme Dache Dise, sablé basque et glace au miel des ruches de la maison. // Gérard Roubeix
POUR LA SOIF ? Conventionnel et nature se tirent la bourre : côtes-de-duras blanc La Pie Colette (5 € le verre), pouilly-fuissé Domaine Faiveley (57 € la bouteille), rioja Marqués de Riscal Gran Reserva (75 €)… Et du basque en bulles – bières blonde, blanche et IPA Eguzki (6 € les 33 cl) et cidre fermier Bordatto (14 € les 75 cl).
LES PRIX : menus 40 €, enfants 25 € (midi en semaine), carte 40 €, poulet du dimanche 21 € par personne.
Plat judicieusement rétréci, boule de glace, chaise haute… Ici, c’est kid-friendly ! Les minis comme les grands enfants y sont chéris, pour que le goût de leur époque soit aussi bon que le nôtre.
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